«La collection est éclectique— affirm Thomas Faerber. J’acquiers ce qui me plaît. Cela peut-être moderne ou très ancien.» ...

Cliquez ici pour lire l'interview complète

«La maison se singularise—dit Thomas Faerber, par un goût pour les bijoux emblématiques d’une époque; ceux de provenance noble ou crées par les plus remarquables artisans; ceux qui, s’ils pouvaient parler, raconteraient mille histories.» ...

Cliquez ici pour lire l'interview complète

Pour soutenir la lutte contre l’épidémie de COVID-19, Faerber fait don à Christie’s International S.A. d’une bague unique en son genre, sertie d’un diamant taille coussin de 2.03 carats dans une monture faite main signé Faerber Collection, en platine noirci. Le lot sera offert sans prix de réserve, lors de la vente en ligne Magnificent Jewels de Genève. Les recettes de cette vente seront directement versées à la Fondation Privée des Hopitaux Universitaires de Genève, dont la mission est de financer des projets essentiels pour la recherche médicale et pour l’amélioration du confort des patients et des soins, au bénéfice de tous les patients. 

Cliquez ici pour plus d’information

En 2018, avec son confrère Ronny Totah, Thomas Faeber lance GemGenève. Thomas Faerber explique : « nous pensions que le moment était idéal pour la création d’un salon joaillier de qualité, convivial presque familial et à taille humaine. Nous avons fait le grand saut et nous sommes jetés à l’eau aux côtés de nos collègues, amis et autres marchands. »

Faerber Collection a rencontré Camille Combremont dans le cadre de la HEAD (Haute Ecole d’Art et Design de Genève), à GemGenève. Séduite par la qualité de son travail et sa personnalité, la maison Faerber a décidé de l’aider à lancer sa première collection. Elle affirme ainsi sa volonté, à l’avenir, de soutenir la jeune création. Ses bijoux seront exposés pour la première fois, sur le stand D8E7 Faerber Collection.

Les premiers bijoux en « Fonte de Berlin » datent de 1813 : la princesse Marianne demande alors aux femmes de participer à l’effort de guerre contre l’envahisseur Napoléon Ier en donnant leurs bijoux en or. En échange, on leur remettait des bijoux en « Fonte de Berlin » avec parfois la mention gravée : "Gold gab ich für Eisen" (J’échange de l’or contre du fer) ou "Eingetauscht zum Wohle of Vaterlandes" (Echangé pour l’amour de la patrie). Rapidement devenus un symbole de l’attachement à la nation, ils étaient portés avec une immense fierté. Après la guerre, la mode a perduré et s’est même propagée à travers l’Europe. A partir des années 1840, la production a décliné pour cesser complètement à la fin du 19e siècle.

Ida Faerber : « ces bracelets sont d’une douceur et d’une finesse incroyables. Ils sont aussi porteurs d’une histoire extraordinaire. Nous avons décidé de les intégrer à notre collection afin d’en faire bénéficier les musées lors d’expositions. »